jeudi 21 février 2013

Blauwe Jantje ( Jantje le bleu)

Un dimanche de fin avril nous avons été visités l'expo des animaux de compagnie à Gand.

Au stand d'un éleveur néerlandais nous avons fait un arrêt en admiration devant une maman rat avec sa portée de ratons bleus unis comme elle. Ils étaient vraiment très beau et mon bonhomme a dit ; c'est un comme cela que je veux.
Et voila, tout était dit. Quelques jours plus tard, le 27 avril 2011, tu étais chez nous avec un petit copain, Juleke Burmees.
Vous aviez seulement 5 à 6 semaines. Juleke avait une demi-semaine de plus que toi. Votre date de naissance tourne donc autour du 15 mars.

Vous avez connu Pépé Barnabé,  vous l'avez taquiné, petits garnements. Et puis Pépé s'en est aller sur le nuage. Vous avez grandi. Pas toujours en harmonie, car les bagarres entre vous n'étaient pas rares.
Ahlala, ces ados!!!!!!!

Puis un jour, le 7 janvier 2012, est venu s'ajouter un nouveau copain, Emile, petit ratou abandonné.
Il n'a jamais accepté votre domination. Il s'est toujours enfui à grand cris lorsque vous vouliez le retourner. Cela vous a agacé, mais vous n'étiez ni l'un, ni l'autre agressifs.

Tu as eu la tristesse de voir ton copain Juleke malade, puis disparaître, âgé seulement de 14 mois.

Tu est resté seul avec ce petit insoumis d'Emile.
Vous ne vous êtes jamais vraiment entendus.
Dommage!

Mais la vie était cependant douce et je vous aimais tendrement tous les deux.

Les balades, les bonnes bouffes.........

Et puis un jour de fin décembre 2012 j'ai remarqué que tu traînais les pattes arrières  que tu avais des difficultés à employer tes pattes avant pour manger.
C'était le début de ta sale maladie.
Après les fêtes nous t'avons emmené chez la vétérinaire et elle a diagnostiqué une maladie neurologique ou une tumeur au cerveau.

Aucun des trois médicaments n'ont donné de résultat satisfaisant et ton déclin à été rapide et pénible.

Il fallait pour finir te nourrir, te réhydrater. T'aider pour tout.
Le temps que cela m'a pris ne compte pas, car tu étais toujours près de moi, seul cela était important.
J'ai fait ce que j'ai pu mais la fin est arrivé trop vite.

Tu n'étais plus capable de rien, je n'ai pas voulu attendre une fin pénible pour toi. Et nous t'avons porté chez ta vétérinaire pour qu'elle t'endorme en douceur. Toi qui a toujours été très doux, un peu distant, mais si calme.

Emile est seul maintenant. Content????? Je ne sais pas, il t'a cherché. A présent il sait que tu n'est plus là.

Tu nous manques, mon beau ratou bleu.